Tic, tic, tic et toc... Par Daniel Bacles

Daniel Bacles

Hier soir, le coq sarko se voulait de combat,

mais ses mouvements, il ne les maîtrise pas.

Ses roulements d'épaules trahissent toujours,

et ses mensonges sentaient la fin de parcours.

Oser accuser l'adversaire de mensonges,

lui, le parfait escroc et le roi du boniment,

on sentait en lui comme un mal qui ronge,

comme une incapacité à faire autrement.

Menteur obsèdé par le besoin d'être cru,

il a tenté de faire valoir que l'autre était pire...

Lui, le président coupable de tant d'abus,

le voir ainsi acculé me faisait parfois rire.

Quel culot, le mensonge devient une culture.

Le sarko encore nouveau, roi de l'imposture,

ose faire valoir que lui avait l'expérience

et que l'autre ne connait rien à la France.

Le coq sarko est décidement un charlatan,

effectivement de lui-même toujours content,

cet individu s'enferme dans le mensonge,

mais souhaiterait qu'on passe l'éponge.

Ce type est un malade, un pervers, un fou.

Mais hier Hollande lui a rendu coups sur coups.

Les haussements d'épaule n'y changeaient rien,

le caïd de l'Elysée est apparu encore plus vaurien.

"C'est celui qui dit qui est", disent les mômes....

Le menteur sarko a montré que c'est vrai.

A le voir attaquer sur des calomnies supposées,

j'ai pensé que ce sarko là n'était pas un homme