Nous sommes à l'aube du XXI ème siècle et le désordre règne en maitre dans le near-west... Ayant piteusement échoué à mettre à genoux le nouveau continent, les Daltons, les plus bêtes et les plus méchants des cow-boys politiques ont mis la main sur l'ancien continent. Joe Sarkozy Dalton, qui mit autant d'énergie à gesticuler, qu'aujourd'hui à se taire, reste profondément aigri de son éviction après ses 5 ans de pouvoir. Ses frères cherchent à récupérer le butin familial planqué au palais, palais désormais aux mains d'un Lucky Luke Hollande, tombé depuis peu en disgrâce par sa balourdise, ayant tiré des promesses plus vite, même deux fois plus vite que son ombre!
Les revolvers sont tremblants dans la fraterie Dalton, les pistoleros ont sorti l'artillerie lourde et les coups pleuvent.
D'abord, il y a William Fillon Dalton, bras droit de Joe pendant 5 ans. Son expérience et sa stature centriste l'ont porté dans les nues des sondages. Il partit donc à la bataille, sans armes, à nu, la fleur aux dents, assuré de sa victoire.
C'était sans compter sur son jeune frère Jack-François Copé Dalton, tombé dans la "marine" de potion extrèmiste dès l'enfance. Ce qui ne l'empêche pas, bien au contraire, d'y prendre encore un bain de temps à autre. Copé Dalton, comme tout Dalton qui se respecte, a falsifié les résultats du scrutin de la mouvance. Mais un renégat en chassant un autre, le Dalton Fillon en a fait de même...
Vint l'heure de la proclamation du résultat des urnes bourrés, et par une volte-face prévisible, Jack Copé Dalton s'autoproclama "moi-même-maître-du-monde", tel un dictateur putchiste, par conséquent opportuniste et avilissant, dans un capharnaüm indescriptible. Peu lui chaut, "le-premier-qu'il-le-dit,-c'est-le-premier-qui-y-est".
Le Dalton William Fillon ne l'entend pas de cette oreille. Un Dalton qui en spolie un autre, du jamais vu, ni vécu. Il déclenche donc une guerre des tranchées médiatiques. S'en suit une siutation pathético-hilarante, un surréalisme jouissif, un "vot vil" prenant. Chacun des deux camps envoient ses soldats respectifs qui dégainent et mitraillent à tout va. C'est la guerre et le schisme est proche.
Les deux camp, dans une ultime tentative de saillie salvatrice, font appel "au meilleur" d'entr'eux, Averell Juppé Dalton, retiré de la sphère politique pour s'occuper de son potager et de ses bêtes, qui lui permettent d'apaiser sa légendaire faim.
Rendez-vous est pris, ce sera le dimanche suivant. Jack Copé Dalton, William Fillon Dalton et Averell Juppé Dalton décident d'y prendre part. Dès lors, l'ambiance est tendue, électrique et dangereuse. Copé Dalton veut rester calife à la place du Calife (une vieille ambition), Fillon Dalton ne veut plus de la présidence de la mouvance, il exige seulement l'éviction du petit Copé Dalton ayant trop trainé avec Calamity Jane, fourbe fausse blonde souhaitant l'éradiction complête des autochtones de la contrée.
Le psychodrame est à son paroxysme, on frôle l'implosion au sein de l'Union des Meilleurs Pistorelos.
"Quand-est-ce qu'on mange? lanca Averell Juppé Dalton affamé d'une sortie de crise.
-Je veux qu'il mange la poussière! grogna le petit Jack Copé Dalton.
-Je veux le voir bouffer ses bulletins de vote frauduleux renchérit William Fillon Dalton.
-Je veux juste savoir quand est-ce qu'on mange conclut le Dalton médiateur!
Désabusé, sachant dans quel désert canyonesque il venait de s'embourber, Averell Juppé jetta l'éponge dans l'indifférence générale... Enfin, il se dit qu'une seule personne pouvait dépêtrer la guerre de secéssion de l'Union des Meilleurs Pistoleros, celui qui partit vaquer avec Molly Bruni, après sa cuisante défaite face à l'ultime combat avec Lucky Luke Hollande. Le plus teigneux, et le plus machiavélique des frères, Joe Sarkozy Dalton est appelé à la rescousse. La cavalerie reste sur ses gardes. Joe Sarkozy Dalton, lui, ne pense pas que sa défaite face à Lucky Luke Hollande, fut un coup final à sa carrière.
Copé Dalton s'est enchainé au GQ des desperados. Qu'à cela ne tienne, Fillon Dalton saisit la justice et souhaite envoyé son frère Jack à la potence. Quand à Averell, il en appelle à Joe, par dépit et en dernier espoir.
Un Dalton s'enfuit toujours de prison, même dorée. Mais que fait Lucky Luke Hollande? Trop occupé à surveiller les télégrammes envoyés par sa douce Jenny Trierchemin de fer?
Peut-être trop occupé à mettre son peuple sous boite de haricots blancs..?
Le peuple de gauche, pendant ce temps, hennit de bonheur, comme "jolly-jumperisé", celui de droite, erre, comme rantanplisé!
Les revolvers sont tremblants dans la fraterie Dalton, les pistoleros ont sorti l'artillerie lourde et les coups pleuvent.
D'abord, il y a William Fillon Dalton, bras droit de Joe pendant 5 ans. Son expérience et sa stature centriste l'ont porté dans les nues des sondages. Il partit donc à la bataille, sans armes, à nu, la fleur aux dents, assuré de sa victoire.
C'était sans compter sur son jeune frère Jack-François Copé Dalton, tombé dans la "marine" de potion extrèmiste dès l'enfance. Ce qui ne l'empêche pas, bien au contraire, d'y prendre encore un bain de temps à autre. Copé Dalton, comme tout Dalton qui se respecte, a falsifié les résultats du scrutin de la mouvance. Mais un renégat en chassant un autre, le Dalton Fillon en a fait de même...
Vint l'heure de la proclamation du résultat des urnes bourrés, et par une volte-face prévisible, Jack Copé Dalton s'autoproclama "moi-même-maître-du-monde", tel un dictateur putchiste, par conséquent opportuniste et avilissant, dans un capharnaüm indescriptible. Peu lui chaut, "le-premier-qu'il-le-dit,-c'est-le-premier-qui-y-est".
Le Dalton William Fillon ne l'entend pas de cette oreille. Un Dalton qui en spolie un autre, du jamais vu, ni vécu. Il déclenche donc une guerre des tranchées médiatiques. S'en suit une siutation pathético-hilarante, un surréalisme jouissif, un "vot vil" prenant. Chacun des deux camps envoient ses soldats respectifs qui dégainent et mitraillent à tout va. C'est la guerre et le schisme est proche.
Les deux camp, dans une ultime tentative de saillie salvatrice, font appel "au meilleur" d'entr'eux, Averell Juppé Dalton, retiré de la sphère politique pour s'occuper de son potager et de ses bêtes, qui lui permettent d'apaiser sa légendaire faim.
Rendez-vous est pris, ce sera le dimanche suivant. Jack Copé Dalton, William Fillon Dalton et Averell Juppé Dalton décident d'y prendre part. Dès lors, l'ambiance est tendue, électrique et dangereuse. Copé Dalton veut rester calife à la place du Calife (une vieille ambition), Fillon Dalton ne veut plus de la présidence de la mouvance, il exige seulement l'éviction du petit Copé Dalton ayant trop trainé avec Calamity Jane, fourbe fausse blonde souhaitant l'éradiction complête des autochtones de la contrée.
Le psychodrame est à son paroxysme, on frôle l'implosion au sein de l'Union des Meilleurs Pistorelos.
"Quand-est-ce qu'on mange? lanca Averell Juppé Dalton affamé d'une sortie de crise.
-Je veux qu'il mange la poussière! grogna le petit Jack Copé Dalton.
-Je veux le voir bouffer ses bulletins de vote frauduleux renchérit William Fillon Dalton.
-Je veux juste savoir quand est-ce qu'on mange conclut le Dalton médiateur!
Désabusé, sachant dans quel désert canyonesque il venait de s'embourber, Averell Juppé jetta l'éponge dans l'indifférence générale... Enfin, il se dit qu'une seule personne pouvait dépêtrer la guerre de secéssion de l'Union des Meilleurs Pistoleros, celui qui partit vaquer avec Molly Bruni, après sa cuisante défaite face à l'ultime combat avec Lucky Luke Hollande. Le plus teigneux, et le plus machiavélique des frères, Joe Sarkozy Dalton est appelé à la rescousse. La cavalerie reste sur ses gardes. Joe Sarkozy Dalton, lui, ne pense pas que sa défaite face à Lucky Luke Hollande, fut un coup final à sa carrière.
Copé Dalton s'est enchainé au GQ des desperados. Qu'à cela ne tienne, Fillon Dalton saisit la justice et souhaite envoyé son frère Jack à la potence. Quand à Averell, il en appelle à Joe, par dépit et en dernier espoir.
Un Dalton s'enfuit toujours de prison, même dorée. Mais que fait Lucky Luke Hollande? Trop occupé à surveiller les télégrammes envoyés par sa douce Jenny Trierchemin de fer?
Peut-être trop occupé à mettre son peuple sous boite de haricots blancs..?
Le peuple de gauche, pendant ce temps, hennit de bonheur, comme "jolly-jumperisé", celui de droite, erre, comme rantanplisé!
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